Une expo de Jacques Brianti, dans le cadre des « expositions dites impromptues » 

Le dindon de souche mexicaine aurait été domestiqué dès 1300 avant J.C. Il tenait une place d’honneur sur les tables royales et cossues de l’empire Aztèque. Selon le mythe Nahua dit des « Cinq Soleils » au cours du troisième Soleil, une pluie de feu et de fer s’abattit sur le peuple Aztèque : le feu des canons et le fer des armures des conquistadors à foi et sans loi, montés sur chevaux eurent violemment raison de cette civilisation (…)

(…) Les dindons de Jacques Brianti sont bel et bien Aztèques, richement encadrés par l’abondante et variée iconographie que produisit cette civilisation enfouie dans la verdoyante forêt d’Amérique Centrale (civilisation qu’il découvrit avec intensité lors de son séjour au Mexique en 1984).

« Ma contribution à Germ cet été sera une revisite « de la Odisea de la especie del pavo ( fragmentos ), série de peintures et dessins, et d’installations…, film etc., sur la base d’un texte de Sylvio Brianti, écrit pour le catalogue de l’exposition faite au Centre « Art Contemporain de Las Palmas, Gran Canaria en Juin 1994. Cette exposition s’intégrera à la thématique retenue « Empreintez-vous, et nous » et aura sens ». L’occasion également d’une signature de l’autobiographie Jacques Brianti : « Jaizquibel, villa de guerre » éditions arcane17, préfacée par Robert Guédiguian.