Le Bourgeois gentilhomme

« Love me tender » hurle dans sa tête ce pauvre petit garçon riche de M. Jourdain. Toujours prêt à tout avoir… pour toujours finir par se faire avoir. Il va se débattre longtemps pour exister notre Bobo Gentilhomme. Molière attaque tout azimuts tous ces azimutés : tous les doctes en chanson, en danse, en musique, en science ou en philosophie… Pas de quartier pour celui qui se croit la nouvelle Star… « Le ridicule ne tue pas »… Il devrait peut-être parfois.

Une œuvre majeure du répertoire classique revisité par le Grenier de Toulouse qui s’en donne à cœur joie !